Politique

Les sénateurs de droite avaient prévenu qu’ils allaient « nettoyer au Kärcher l’hystérie fiscale de l'Assemblée nationale ». En réalité, c’est à la structure même du contrat social de notre pays qu’ils s’emploient à déconstruire. Liberté Actus revient sur les mesures discutées ces derniers jours au Sénat.

Le fameux « accord des 100 Rafales » entre Macron et Zelensky n’est ni un contrat ni une réalité industrielle : c’est un écran de fumée pour masquer une guerre perdue et une corruption galopante.

C’était une petite conquête du monde syndical et des ONG. Mais sous la pression des organisations patronales, le devoir de vigilance des entreprises est menacé de détricotage. La bataille se poursuit au Parlement européen pour maintenir ou défaire ce régime qui rend responsable les entreprises pour les violations des droits humains et environnementaux.

Il faut aller au-delà de l'émoi suscité, jeudi 30 octobre, par le vote de la résolution présentée par le Rassemblement national lors de sa niche parlementaire. La demande de dénonciation de l'accord franco-algérien de décembre 1968 n'a d'autre sens que d'incendier un peu plus les relations diplomatiques entre la France et l'Algérie. Avec la complicité de la droite républicaine.

Le PLFSS 2026 (Projet de loi de financement de la Sécurité sociale) est un véritable projet de classe. Plutôt que de revenir sur les exonérations de cotisations patronales, plutôt que d’augmenter légèrement les cotisations, plutôt que de faire cotiser les revenus financiers, ce projet s’attaque à la santé des citoyens, au pouvoir d’achat des plus faibles et aux pensions des retraités.