L'assassinat d'Aboubakar Cissé, vendredi 25 avril à l'intérieur de la mosquée de La Grand-Combe (Gard) est révoltant. À l'image, par exemple, de celui du père Hamel, tué lui aussi sur son lieu de culte, le 26 juillet 2016 à Saint-Étienne-du-Rouvray. Mais pourquoi transformer l'hommage au jeune Cissé (et la dénonciation du crime) en polémique, en bataille sémantique et, pour finir, en haine ?