Alors que la Chine s’impose comme la première puissance mondiale de l’hydrogène, la France hésite entre annonces sans lendemain et démonstrateurs symboliques. Peut-elle encore rattraper son retard ? À défaut de rivaliser, il lui faudrait au moins coopérer. À condition, toutefois, de rompre avec les illusions transatlantiques et de se doter d’une véritable stratégie industrielle.