Élections Les entreprises en Région, perspectives 2024
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Les revirements n’en finissent pas chez ARC. Le plus grand verrier français, basé dans le Pas-de-Calais, enchaîne les difficultés financières depuis près de 10 ans. Entre flambées des prix du gaz et baisses des commandes, les quelque 4 500 salariés oscillent entre chômage partiel et virages stratégiques.
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En amont des producteurs, des fabricants et des distributeurs, les acteurs financiers prospèrent sans scrupules, invisibles pour le grand public. Ils font la pluie et le beau temps sur les prix des matières premières agricoles. Ces acteurs, ce sont des banques, des fonds d’investissements, des assurances qui profitent de l’opacité et l’absence de régulations pour spéculer sur les matières premières alimentaires. Pire, les différentes crises sont autant d’opportunités de tirer leur épingle du jeu pour ces vautours sans vergogne.
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Imaginons. Une structure de 29 mètres de large sur 15 de haut pour 30 tonnes d’acier, accrochée sur le front de la tour Eiffel. C’est la réussite de dizaines d’ouvriers, de techniciens et d’ingénieurs d’ArcelorMittal. Voilà six mois qu’ils sont à l’œuvre pour bâtir les Anneaux olympiques géants, nommés « Spectaculars » pour l’occasion, qui trôneront au cœur de la capitale lors des Jeux olympiques et paralympiques 2024.
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Après des mois d’incertitudes pour les salariés de MetEx quant à la possible liquidation des différents sites du groupe, plusieurs offres de reprise ont été déposées. Le site amiénois (Somme) qui emploie près de 300 travailleurs avait été placé en redressement judiciaire au mois de mars, tout comme le site de Carling (Moselle).
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C’est officiel ! La branche nucléaire de General Electric est reprise par EDF, après des années de déboires et de licenciement. C’est donc à nouveau sous pavillon français que seront fabriquées les turbines Arabelle, qui équipent près de 50% du parc nucléaire mondial installé, dont la totalité du parc français.
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Voilà plusieurs mois qu’Ascometal se trouve dans la tourmente. Valsant de reprises en liquidations depuis 30 ans, c’est Swiss Steel qui jette cette fois l’éponge. Après avoir annoncé des négociations exclusives avec un aciériste italien l’année dernière pour la reprise de trois des cinq sites français d’Ascometal, le tribunal judiciaire de Strasbourg annonçait le 27 mars la mise en redressement judiciaire du groupe.