Depuis le premier entretien téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump, le 12 février et la rencontre, le 18 février, entre le secrétaire d’État américain, Marco Rubio, et le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, l’effarement, voire la peur, semblent avoir saisi les élites politiques et médiatiques européennes.