Finance

On fait le point Comprendre l’essor des fonds souverains dans l’économie mondiale

par Nathan Desrumaux

Quand on évoque les marchés financiers, notre imaginaire collectif les associe spontanément à la sphère privée en opposition avec l’État. Or, les États s’affirment de plus en plus comme des acteurs incontournables sur les marchés financiers via leurs fonds souverains. Liberté Actus fait le point sur cette forme de propriété étatique parfois méconnue.

On fait le point Sur quelle production la « bulle IA » repose-t-elle ?

par Amado Lebaube

Un débat agite les investisseurs et les analystes : y a-t-il une bulle spéculative de l’intelligence artificielle (IA) ? La filière pourrait être surévaluée sur les marchés financiers, faisant courir le risque d’un krach boursier. Mais en dernière instance, le développement de l’IA repose sur un modèle de financement permis par la vente de puces électroniques.

Le billet d’Éric Bocquet La République et l’impôt

par Éric Bocquet

L'hémicycle est en fusion avec les discussions de la partie recettes du projet de loi de finances 2026. Les forces libérales sont arc-boutées sur leur refus de tout impôt nouveau, ou de toute augmentation de la charge fiscale. Taxe Zucman, taxation des dividendes, taxation des hauts patrimoines, etc, etc. Toujours les mêmes sempiternels arguments ressassés sur les plateaux des chaînes d’information.

On fait le point L’imposture des agences de notation

par Nathan Desrumaux

Ce 24 octobre fut une grande journée pour les éditorialistes pseudo-économistes de plateaux puisque c’était au tour de l’agence de notation Moody’s de se prononcer sur la dette souveraine française. Si, cette fois-ci, la note n’a pas été dégradée, cela n’a que très peu d’importance. Ce marronnier journalistique et politique n’est, en réalité, qu’un prétexte au service d’un agenda alarmiste et austéritaire.

Explications Pourquoi le coût de la dette publique explose ?

par Amado Lebaube

L’État ne fait pas que s’endetter, il doit financer son endettement et ça nous coûte de plus en plus cher. La « charge » de la dette, c’est la somme des intérêts que l’État doit payer à ses créanciers chaque année. En 2024, elle s’élevait à 59 milliards d’euros et elle est estimée à 67 milliards d’euros pour 2025. Une hausse de 13,5 %.