Longtemps éclipsé par l'uranium, le thorium pourrait bien incarner une nouvelle ère énergétique. Plus abondant, moins dangereux, quasiment inutilisable pour des fins militaires, il attire aujourd'hui l’attention de bien des pays.
Face à une demande hésitante et des prix en berne, l’OPEP+ annonce une hausse de sa production. Une décision offensive qui vise directement la rentabilité du pétrole non conventionnel américain, et intensifie la bataille pour le contrôle du marché mondial.
La Chine franchit une nouvelle étape dans le domaine de l'énergie nucléaire avec la mise en service du premier réacteur au thorium à sels fondus dans le désert de Gobi.
Au sein de l’OCS a été créé le « Club de l’énergie », un organe non-décisionnaire peu connu et qui est pourtant un acteur quasi-incontournable des politiques énergétiques asiatiques.
Depuis 1954, l’idée d’exploiter la différence de salinité entre l’eau douce et l’eau salée pour produire de l’électricité existe. L’énergie osmotique, encore méconnue, offre des perspectives prometteuses pour la transition énergétique.
Pour répondre aux défis de la transition énergétique et aux besoins croissants en stockage d'énergie, la Chine mise sur une technologie innovante : le stockage d'énergie par air comprimé (CAES).
Luc Rémont, PDG d’EDF depuis novembre 2022, a été démis de ses fonctions ce 21 mars 2025, après des mois de tensions avec l’État, actionnaire à 100 % de l’entreprise.
Le médiateur de l’énergie alerte sur la hausse continue des interventions pour impayés en 2024, une tendance qui se poursuit pour la quatrième année consécutive. Ces interventions, sous forme de réductions de puissance électrique ou de coupures de gaz et d’électricité, concernent un nombre toujours plus important de foyers en difficulté.
Selon une récente enquête de l'UFC-Que Choisir, la nouvelle régulation du marché de l’électricité risque de faire flamber la facture des consommateurs. À partir de 2026, les factures d’électricité pourraient flamber de 19 %.
Emmanuel Macron célèbre le retour du nucléaire avec six EPR2, mais se dérobe sur la question du financement. Avec un coût désormais estimé à 100 milliards d’euros par Bercy, l’État compte faire porter le fardeau sur EDF, déjà sous tension. Une stratégie qui soulève des doutes sur l’engagement réel de l’exécutif et sa capacité à assumer ses ambitions.