Dans la chaude soirée du 31 juillet, au Café du Croissant, rue Montmartre, à quelques centaines de mètres du siège de L’Humanité, plusieurs coups de feu éclatent. Un homme, tournant le dos à la rue, s’effondre, mortellement blessé.
1ᵉʳ novembre 1953 : il est 22 heures lorsqu’un tragique accident survient sur la route nationale reliant Lens à Hénin-Liétard, à hauteur de Noyelles-sous-Lens.
Qui se souvient encore d’Arthur Lepers ? À Harnes où il est né et à Montigny-en-Gohelle où il a vécu et où il est enterré, aucune rue ne porte son nom. Comme si son nom avait disparu de la mémoire collective des communistes du Pas-de-Calais.
Fondé en 1887 par le docteur Ludwik Zamenhof, l’espéranto, cette langue internationale de l’espoir conçue pour « détruire les murs entre les populations et rapprocher les êtres humains pour que chacun d'eux voie dans son prochain seulement un être humain et un frère » a très tôt suscité l’intérêt des militants du mouvement ouvrier.
Le 16 juillet 1942, dès 4 heures du matin… Bruits de pas dans de nombreux immeubles parisiens ou de la banlieue proche, coups violents frappés aux portes ; 4 500 policiers français ont reçu l’ordre d’arrêter plus de 13 000 juifs. C'était le début de ce que l'on a appelé la « Rafle du Vel' d'Hiv ».
Jeudi 27 juin, durant le débat Gabriel Attal – Olivier Faure – Jordan Bardella, Olivier Faure, secrétaire du Parti socialiste, représentant le Nouveau Front populaire, dénonce avec force le programme du Rassemblement national pour les Français ayant la double nationalité. Sans réponse, Jordan Bardella s’énerve et lance : « Voici le retour de Jean Moulin. »
Le Front populaire est un mythe. Un mythe n’est ni légende ni conte ! C’est une histoire vraie, fondatrice d’une narration transmise durant des décennies.
À l'occasion du quatre-vingtième anniversaire du débarquement en Normandie, nous revenons sur les circonstances de cette formidable opération militaire pour libérer l'Europe du joug nazi. Avant, pendant et après.