Liberté Actus
qrcode:https://liberte-actus.fr/1347

Cet article est lisible à cette adresse sur le site Liberté Actus :

https://https://liberte-actus.fr/1347

Flachez le qrcode suivant pour retrouver l'article en ligne

sylv1rob1/shutterstock
Grève des médecins

Vous reprendrez bien un peu de désert ?

Accès sur connexion
Mise à jour le 9 mai 2025
Temps de lecture : 4 minutes

Mots -clé

Santé Gouvernement

Animé d’une volonté de « soigner la République », c’est du chevet du Cantal que François Bayrou annonce le plan gouvernemental pour lutter contre les déserts médicaux. Au menu, des mesures qui ne sont pas du goût des médecins libéraux.

Les médecins et les étudiants en médecine sont vent debout contre la loi transpartisane portée par le député Guillaume Garot, dont l’article 1er prévoyant la régulation des installations a déjà été adopté par l’Assemblée nationale. Alors qu’un mouvement de grève est prévu cette semaine parmi les généralistes, les internes et les externes (médecins en formation), le premier ministre tente de rectifier l’assaisonnement. « La loi de la régulation autoritaire ne sera donc pas celle que nous retiendrons dans l’étape que nous ouvrons aujourd’hui ».

Le refus des médecins de s’installer dans des zones enclavées, où les services publics ont été démantelés tout comme les hôpitaux de proximité, semble avoir été entendu, en tout cas dans un premier temps. Mais il s’agit de trouver une solution urgente pour les six millions de Français n’ayant pas de médecin traitant.

En conséquence, au nom de la solidarité confraternelle, les médecins devraient aller consulter deux jours par mois en « zone rouge ». Sueur aux lèvres et mouchoir à la main, François Bayrou se dit déterminé. « Les préfets et les Agences Régionales de Santé n’interviendraient qu’en cas d’absence de réponse locale ».

Une…

Il vous reste tant à découvrir...

Pour lire la suite de cet article créez-vous gratuitement un compte sur Liberté Actus.

Déja abonné ?

Identifiez-vous

Message d'abonnement

Ces articles peuvent vous intéresser :

Jean-Noël Barrot Un langage fort peu diplomatique

Au moment où allaient s’ouvrir à Istanbul les premières négociations russo-ukrainiennes depuis 2022, le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, affirmait vouloir « prendre la Russie à la gorge », au moyen de sanctions « dévastatrices ». M. Barrot semble ne pas se souvenir qu’avant lui, Bruno Le Maire, alors ministre de l’Économie, avait affirmé que grâce aux sanctions, « Nous allons provoquer l'effondrement de l'économie russe »

Soutenez-nous

Faire un don

En 2024, nous avons bâti un journal unique où les analyses se mêlent à l’actualité, où le récit se mêle au reportage, où la culture se mêle aux questions industrielles et internationales. Faites un don pour continuer l’aventure.