Le monde associatif français est une exception en Europe ; ses principes éloignent la majorité de ses associations du monde de la finance en posant comme impératif la réponse aux besoins de la population, de tout âge et de toute condition sociale, dans tous les domaines de la vie : sport, santé, éducation, loisirs, vacances, droits sociaux, environnement, crèches, théâtre, spectacles, restauration, bricolage, emploi, apprentissage des langues, solidarité...
643 milliards qui échappent aux spéculateurs
Aucun secteur n’échappe à l’intervention de 20 millions de bénévoles — 30 % de la population — et de 2 millions de salariés. En 2025, la plupart des investissements des organismes sans but lucratif concernent les structures employeuses et le secteur social et médico-social. Toutes branches confondues, les dépenses prévues approchent les 643 milliards d’euros... avec un déficit de 18,2 milliards d’euros estimé pour l’année.
La contribution des associations au PIB représente ainsi 3,5 % de la valeur ajoutée du pays. Des forces et des budgets qui échappent majoritairement aux logiques de profit, donc aux banques, aux spéculateurs et à ceux qui, au pouvoir, défendent leurs intérêts.
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