Liberté Actus
qrcode:https://liberte-actus.fr/1496

Cet article est lisible à cette adresse sur le site Liberté Actus :

https://https://liberte-actus.fr/1496

Flachez le qrcode suivant pour retrouver l'article en ligne

Antonin Albert/shutterstock
Réforme des retraites

Toujours pas de fumée blanche pour le « conclave » des retraites

Accès sur connexion
Temps de lecture : 3 minutes

Mots -clé

Syndicalisme Gouvernement Retraites

Sous couvert de dialogue social, le « conclave » sur les retraites, repoussé au 23 juin, devient le théâtre d’une double impasse entre négociations entre syndicats et patronat, et celle d’un Premier ministre en sursis.

Le rideau ne tombe pas encore sur le « conclave » des retraites. Ce processus de concertation entre partenaires sociaux, lancé pour tenter de sauver les meubles après la réforme passée en force de 2023, s’offre une ultime journée de débat le 23 juin. Une rallonge in extremis, au goût amer pour les négociateurs. Le patron du Medef, Patrick Martin, s’est déclaré « très réservé » quant à la participation de son organisation, dénonçant une réforme « détricotée à bas bruit » et des concessions jugées unilatérales.

Plus rien ne bouge

Depuis le 27 février, la valse des réunions n’a pas permis de dépasser les lignes rouges. Les principaux points de blocage restent la prise en compte de la pénibilité, les départs anticipés pour les carrières longues, et surtout l’abaissement de l’âge de départ à la retraite. Des avancées ont été esquissées, notamment sur les carrières des femmes et un embryon de compte pénibilité. Mais les syndicats pointent un effort déséquilibré, alertant que ce sont les retraités et les futurs retraités qui en paieraient le prix. « Le compte n’y est pas », tranche Christelle Thieffinne (CFE-CGC). Quant à la CFTC, elle n’exclut pas de boycotter l’ultime session. La CGT…

Il vous reste tant à découvrir...

Pour lire la suite de cet article créez-vous gratuitement un compte sur Liberté Actus.

Déja abonné ?

Identifiez-vous

Message d'abonnement

Ces articles peuvent vous intéresser :

BTP Chronique d’un échec gouvernemental sur MaPrimeRénov’

La suspension brutale de MaPrimeRénov’ à compter du 1ᵉʳ juillet provoque un choc dans tout le secteur du bâtiment. Cette aide à la rénovation énergétique des logements avait suscité un engouement inédit début 2025 : plus de 83 000 dossiers déposés au premier trimestre, dont un tiers pour des rénovations d’ampleur, avec des aides atteignant 46 000 euros pour les ménages modestes.

Soutenez-nous

Faire un don

En 2024, nous avons bâti un journal unique où les analyses se mêlent à l’actualité, où le récit se mêle au reportage, où la culture se mêle aux questions industrielles et internationales. Faites un don pour continuer l’aventure.