Si le budget global de l’Éducation reste stable, passant à 64,5 milliards d’euros pour l’année 2025 contre 64,4 milliards d’euros en 2024, les suppressions de postes programmées, qui toucheront principalement le premier degré, suscitent l’incompréhension du monde enseignant.
Une réaction rapide des syndicats
Majoritaire dans le second degré, le SNES-FSU dénonce « une véritable cure d’austérité pour l’Éducation nationale. […] L’École publique paye un lourd tribut aux économies annoncées par Michel Barnier. C’est même l’Éducation nationale qui contribue le plus aux suppressions de postes annoncées dans la Fonction publique. Et dire que Michel Barnier annonçait lors de son discours de politique générale que l’école resterait sa priorité… encore une fois, il y a un gouffre entre les paroles et les actes ! »
Ancienne députée LREM des Français de l’étranger, la nouvelle ministre de l’Éducation nationale, Anne Genetet, n’inspire guère de confiance aux enseignants qui ont découvert avec stupéfaction les conseils donnés par leur…