En réponse à l’attaque israélienne, Téhéran a lancé entre 20 et 30 missiles balistiques, ciblant des infrastructures militaires et symboliques : un quartier général cybernétique, un centre de renseignement, une base militaire sensible, et même la bourse de Tel Aviv. Pour la première fois, deux missiles avancés sont utilisés : le Sejil, équipé d’un système d’évitement, et le Khorramshahr, à ogive massive.
Cette montée en gamme témoigne d’une rupture. L’Iran, touché mais debout, démontre qu’il peut frapper le cœur d’Israël avec précision, tout en limitant les pertes civiles. À Tel Aviv, la population est secouée, les défenses anti-aériennes s’épuisent, et la « capitale économique » est partiellement paralysée. L’Iran revendique ouvertement cette offensive comme une réponse légitime à l’agression israélienne, et annonce que « ce n’est que le début ».
À Washington, la guerre ne fait pas (encore) loi
Côté américain, plusieurs élus, républicains et démocrates, s’opposent à toute opération contre l’Iran sans autorisation parlementaire. Le sénateur Tim Kaine a déposé une résolution pour bloquer une intervention unilatérale. Bernie Sanders appelle à « dire simplement non » à…