Ces formations dénoncent une escalade des attaques israéliennes, marquées par des frappes ciblées sur des sites militaires syriens, des incursions autour du plateau du Golan occupé et l’abandon de l’accord de cessez-le-feu de 1974.
Les puissances étrangères pointées du doigt
Pour les signataires du texte, Israël cherche à « imposer son contrôle sur de vastes zones frontalières » en exploitant « la situation extrêmement difficile et compliquée, en particulier dans le domaine de la vie et de l’économie, à laquelle est confronté le peuple syrien frère ». Ces attaques s’inscrivent dans une stratégie visant à « frapper et détruire [les] capacités militaires et de défense » de la Syrie, tout en visant ses infrastructures essentielles.
Le communiqué remarque aussi que cette campagne militaire s’accompagne d’un « silence arabe et international honteux ».
Les partis communistes accusent les États-Unis, leurs alliés régionaux et l’OTAN de jouer un rôle central dans ces événements. Pour eux, cette « agression continue » s’inscrit dans un cadre plus large visant à « imposer une normalisation de facto » entre la Syrie et Israël, et à remodeler le paysage politique de la région.
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