Tandis que la nation iranienne résiste, Israël révèle ses limites dans une guerre d’usure. En toile de fond, la Chine et la Russie soutiennent un partenaire des BRICS dans le respect du droit international.
Une guerre d’usure que Tel-Aviv ne peut gagner
La guerre de douze jours entre Israël et l’Iran, avec l’implication directe des États-Unis, a mis en lumière les limites de la puissance israélienne. Malgré une supériorité technologique indéniable, Israël a montré son incapacité à soutenir une guerre d’attrition. Le coût quotidien de sa défense aérienne a dépassé les 250 millions d’euros, et les stocks de missiles s’amenuisent. Le « Dôme de fer », bien que performant, n’a pu empêcher des frappes iraniennes ciblées sur le territoire israélien.
Cette vulnérabilité nouvelle a surpris. Israël, habitué à des campagnes militaires courtes et décisives, se retrouve confronté à un adversaire capable de durer, de frapper avec précision, et de résister politiquement. Le soutien américain, bien que massif,…