Cette décision s’inscrit dans une volonté affirmée de réduire à zéro la dépendance militaire espagnole envers Israël, dans le contexte des opérations en cours à Gaza.
Le ministère de la Défense espagnol, sous l’impulsion de Pedro Sánchez, a également annulé la livraison de millions de balles fabriquées en Israël, confirmant une réorientation de la politique d’achat d’armement du pays. Cette rupture ne se limite pas à l’Espagne : plusieurs autres nations européennes envisagent désormais de revoir ou suspendre leurs accords militaires avec Israël, amplifiant son isolement sur la scène internationale.
À Bruxelles, des voix s’élèvent pour reconsidérer l’accord d’association entre Israël et l’Union européenne, tandis que certains gouvernements réévaluent leurs exportations d’armes. De son côté, l’Espagne explore des alternatives avec des fournisseurs américains et européens pour compenser cette réorientation stratégique.
Alors que Tel-Aviv fait face à une pression diplomatique et économique croissante, la décision…