Liberté Actus
qrcode:https://liberte-actus.fr/1124

Cet article est lisible à cette adresse sur le site Liberté Actus :

https://https://liberte-actus.fr/1124

Flachez le qrcode suivant pour retrouver l'article en ligne

AtlasbyAtlas Studio/shutterstock
Début de négociation

L’Union européenne et l’Ukraine en grands perdants ?

Accès abonné
Mise à jour le 21 février 2025
Temps de lecture : 4 minutes

Mots -clé

Ukraine Russie États-Unis Union européenne Donald Trump

Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche bouleverse la politique étrangère américaine, notamment en Ukraine. La progression des forces russes sur le terrain, combinée à la résilience économique de la Russie, a renforcé la position de Vladimir Poutine.

Face à cela, les États-Unis constatent la victoire de Moscou et réajustent leur approche. Avec une vision pragmatique, axée sur les intérêts économiques des États-Unis, Trump redéfinit le rôle de Washington dans le dossier ukrainien.

La fermeté de la Russie impose des concessions à l’Ukraine

Le renforcement des positions russes, tant militaires qu’économiques, oblige les États-Unis à accepter de facto les gains territoriaux russes en Crimée et dans le Donbass. Trump justifie cette posture en mettant en avant la nécessité de « réduire les pertes » et de stabiliser la région, même si cela implique une reconnaissance tacite de la souveraineté russe sur ces territoires.

Washington espère ainsi tourner la page du conflit et se concentrer sur des enjeux stratégiques jugés plus prioritaires, notamment la compétition avec la Chine. Ce changement d’attitude suscite de vives critiques parmi les alliés européens et au sein même de l’administration américaine, certains y voyant un abandon pur et simple de l’Ukraine.

De plus, la…

Il vous reste tant à découvrir...

Cet article est payant.

Pour lire la suite de cet article et soutenir ce site, abonnez vous à Liberté Actus.

Déja abonné ?

Identifiez-vous

Message d'abonnement

Ces articles peuvent vous intéresser :

Allemagne « Deutsche Qualität » et élections ne font plus bon ménage

Les Allemands sont appelés aux urnes ce dimanche 23 février pour renouveler le Bundestag. Le 6 novembre dernier, la coalition « feu tricolore » du chancelier Olaf Scholz s'effondrait après, entre autres choses, un conflit sur la manière de revitaliser l'économie. Longtemps mis en avant par les forces libérales françaises, le modèle allemand semble exploser en vol.