Depuis hier, lundi 13 mai, un cycle de violence inquiétante s’est enclenché en Nouvelle-Calédonie. L’archipel, grand comme la Slovénie et peuplé par 271.000 habitants, est en proie à un mouvement social et politique d’ampleur du fait de l’examen par l’Assemblée Nationale d’une réforme de son corps électoral. En parallèle des occupations de sites stratégiques comme le port, l’aéroport ou les mines de nickel (première ressource de l’île) par l’USTKE [1], des émeutes et des pillages ont émaillé…
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Pierre Laborde/shutterstock
Kanaks
Violences en Nouvelle-Calédonie sur fond de réforme constitutionnelle
par
Sethi
Publié le 14 mai 2024
à 20:44
Temps de lecture : 5 minutes
Mots -clé
Assemblée nationale Luttes5 mai 1988, l’État donnait l’ordre d’investir la grotte d’Ouvéa en Nouvelle-Calédonie, entraînant la mort de 19 militants indépendantistes kanaks et de deux des gendarmes qu’ils avaient pris en otage. 36 ans plus tard, l’archipel s’embrase à nouveau sur fond de réforme du corps électoral à l’Assemblée Nationale.
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