Le Parti communiste sud-africain de son côté (SACP) dénonce une ingérence impérialiste des États-Unis. Alors que les tensions avec les États-Unis s’intensifient, Pretoria se prépare à accueillir le G20 en 2025, une première pour un pays africain, ce qui renforce sa stature internationale.
Un passif diplomatique sous tension avec Washington
Alors que l’ancien président américain a dénoncé une « confiscation » des terres appartenant aux riches propriétaires blancs, Pretoria refuse l’affrontement direct et prône un dialogue diplomatique mesuré.
Le Parti communiste sud-africain (SACP) a réagi, dénonçant « l’agenda impérialiste américain ». « Trump n’est pas le président de l’Afrique du Sud », martèle le SACP, soulignant que Pretoria ne cédera pas aux pressions étrangères sur un sujet aussi central que la redistribution des terres.
Les tensions entre Pretoria et Washington ne sont pas nouvelles. Dès 2018, Trump avait relayé des théories alarmistes sur les violences contre les fermiers blancs, provoquant l’indignation du gouvernement…