L’administration Trump II a usé de tous les moyens possibles pour infléchir le vote : mensonges, menaces, carottes financières. Avec 7 voix contre et 12 abstentions, ils sont parvenus à faire évoluer une bonne dizaine de voix par rapport aux dernières années. Néanmoins, ce vote montre plus la force de contrainte des États-Unis sur les gouvernements à sa solde qu’une réelle capacité de convaincre au sein de l’ONU.
L’impérialisme des États-Unis à l’offensive
L’attitude plus agressive de la diplomatie des États-Unis était déjà palpable sur la forme. Alors qu’à l’habitude, ses représentants ne s’expriment pas, ou à la fin du vote seulement, cette fois l’administration Trump a envoyé le représentant numéro 1 des États-Unis aux Nations unies pour faire un discours avant le vote. Il s’agit de Mike Waltz, un trumpiste de Floride pure et dur et bien entendu anticommuniste et anti-cubain pathologique.
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