Lancé en 2018 à l’occasion du centenaire de l’armistice, le Forum, voulu par le nouvellement élu Emmanuel Macron, se présentait comme une « plateforme ouverte à celles et ceux qui cherchent à développer une coordination, des règles et des compétences pour répondre aux problèmes mondiaux ».
Derrière un vernis de multilatéralisme, un vrai gadget du capitalisme mondialisé
Il suffit de parcourir les membres du conseil d’administration du Forum pour comprendre que son objet est en réalité bien éloigné du renforcement du multilatéralisme. Son Président est le mexicain Ángel Gurría, ancien secrétaire général de l’OCDE, incarnation du capitalisme mondialisé « à visage humain » et, bien entendu, fervent partisan du libre-échange sans limites. Au conseil d’administration, aux côtés du Ministère des Affaires étrangères français et de la Commission européenne, la fondation Open Society de George Soros, bien connue pour sa mobilisation en faveur des opérations de changement de régime à travers le monde, Microsoft et d’autres…
 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
		 
					 
		 
	 
				 
				 
				