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Nouvel ordre

Vers une lutte mondiale contre le réchauffement climatique… sans les États-Unis ?

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BRICS ONU États-Unis Climat

La lutte contre le changement climatique rend inévitable la coopération internationale. La décision prise par la Maison-Blanche de licencier les derniers « négociateurs climatiques » états-uniens rebat les cartes. C’est un coup dur porté à la gouvernance climatique mondiale, mais est-ce une fatalité ?

La question peut raisonnablement se poser. Les États-Unis restent le pays qui a émis plus de dioxyde de carbone que tout autre dans l’histoire et conservent encore – pour combien de temps ? – une prédominance sur bien des aspects du commerce mondial.

Le retrait américain s’accélère

Dès le mois d’avril, Donald Trump a supprimé le bureau américain chargé de la diplomatie climatique, mettant fin aux fonctions des représentants des États-Unis dans les discussions internationales encadrées par l’ONU, notamment les COP (Conférences des Parties) sur le climat. Cette décision laisse planer un sérieux doute sur la participation du pays à la COP30, prévue en novembre prochain à Belém, au Brésil. Elle s’ajoute aussi à une nouvelle sortie des Accords de Paris, qui deviendra effective en janvier 2026.

Dès lors, les États-Unis ne seraient plus que de simples observateurs, sans droit de parole ni de vote aux COP. Ces annonces visent avant tout à flatter une partie de l’électorat américain. Mais sur le fond, elles traduisent une forme…

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