Ce 24 octobre fut une grande journée pour les éditorialistes pseudo-économistes de plateaux puisque c’était au tour de l’agence de notation Moody’s de se prononcer sur la dette souveraine française. Si, cette fois-ci, la note n’a pas été dégradée, cela n’a que très peu d’importance. Ce marronnier journalistique et politique n’est, en réalité, qu’un prétexte au service d’un agenda alarmiste et austéritaire.