À Bruxelles, la France s’est empressée d’approuver ces nouvelles taxes contre les véhicules produits en Chine. Car oui, rappelons d’emblée qu’il s’agit des véhicules « produits en Chine » et non des « véhicules chinois ».
Les consommateurs paieront le prix fort
Le diable se cache dans les détails, et le gouvernement joue de cette nuance pour déclarer qu’il s’agit là d’une mesure « protectrice ». Ces mêmes dirigeants qui oublient au passage que de nombreux constructeurs européens produisent depuis bien longtemps leurs modèles dans l’Empire du milieu : Volkswagen et BMW en tête, mais aussi Renault (dont l’État est actionnaire) par exemple.
Ce n’est pas tant la question. Lorsque le gouvernement dit vouloir « protéger » notre marché, c’est aux consommateurs et aux travailleurs des industries qu’il s’adresse. Problème, le coût de cette « protection » n’est pas évoqué.
Imaginons, par exemple,…