La nouvelle est tombée au sortir de la rencontre entre le président espagnol Pedro Sánchez et le président chinois Xi Jinping, qui s’est tenue ce vendredi 11 avril.
Changement de ton et nouvelles coopérations
En octobre 2024, l’Union européenne entérinait des droits de douane variables pour les constructeurs chinois, allant de 17 % à plus de 40 % pour certains cas. Mais dans un élan mensonger, le gouvernement français omettait de dire qu’il était question des véhicules « produits en Chine » et non pas seulement des « véhicules chinois ». Dans la foulée, Pékin avait saisi l’Organisation mondiale du commerce (OMC) tout en prenant des mesures de rétorsion, sur les vins et les spiritueux notamment.
« Les guerres commerciales n’ont pas de vainqueur » martelaient déjà les autorités chinoises. Une vision trop peu entendue en Europe jusqu’à ce que les États-Unis décident, à leur tour, de déclencher une bombe atomique commerciale. Rattrapée par la réalité, la commission européenne semble faire machine arrière, comme en témoigne…