La présence des « filles et fils de… », des petits, arrière-petits voire arrière-arrière petits-enfants et des militants de Gauche donne à penser que, malgré les obstacles à faire vivre la mémoire, celle-ci résiste. Et s’il n’en restait qu’un, rien ne serait perdu !
Émilienne et ses camarades toujours présents !
C’est ce qu’on se disait quand, après la lecture d’un poème de Michel Brûlé [1] par Philippe Rulkin, historien local, Jean-Pierre Hainaut, du Musée d’Harnes lut des extraits du livre…