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La fête est finie !

Le nouveau roman de Philippe Pivion en exclusivité sur Liberté Actus

Accès libre
Mise à jour le 10 septembre 2024
Temps de lecture : 2 minutes

Mots -clé

Littérature Roman

Le roman-feuilleton, en voilà une tradition française. De Balzac à Barbusse, nombreux sont les écrivains qui se sont prêtés à l’exercice. Depuis le XIXe siècle et l’essor d’une presse libérée par les révolutions successives, ces hommes et ces femmes se sont montrés soucieux de donner à lire au plus grand nombre leurs romans. Ils ont nourri par là le développement d’une culture littéraire populaire, mais aussi l’ancrage de la lecture du journal.

C’est dans cette perspective que Philippe Pivion renoue avec cette tradition  ; à cela près qu’il opte pour la rencontre entre le feuilleton et le roman noir historique, politique de surcroît. Après maintes réussites avec ses précédents romans tels que Le complot de l’Ordre noir ou Dès lors ce fut le feu, il fait le choix de s’attaquer à l’année 1939 dans un nouvel ouvrage, bien nommé La fête est finie !.

À l’aube des tumultes sans précédent de la Seconde Guerre mondiale, entre la ruine du Front populaire et les prémices des agressions fascistes et nazies, il donne vie aux personnages qui ont vécu les évènements dans leur chair.

Il interrogera, aux détours du quotidien d’hommes et de femmes, chapitre par chapitre, la manière dont furent perçus ces bouleversements qui dépassent l’entendement. Lorsque la fiction se mêle à l’histoire – rigoureusement respectée – il devient possible de comprendre comment le global détermine le local, comment le quotidien de tout un chacun peut être plongé dans un contexte qui le dépasse.

Dès ce samedi 13 juillet, Liberté Actus publiera chaque semaine, en exclusivité, un nouveau chapitre de ce roman inédit.

En renouant avec cet exercice délicat qu’est le roman-feuilleton, Pivion donne le meilleur de ce qu’un écrivain porte de volonté : celle d’être lu par le plus grand nombre et de rendre accessible la lecture d’un roman.

Loin de faire de l’histoire pour de l’histoire, il montrera qu’un « peuple qui ne connaît pas son passé se condamne à le revivre » selon l’adage, et qu’une fois pour toutes, « hier s’achève par demain ».

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