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Littérature

Dura lex sed lex

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Mise à jour le 13 décembre 2024
Temps de lecture : 3 minutes

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Littérature

Tout le monde connaît le juge Marc Trévidic, qui a longtemps exercé ses fonctions à l’antiterrorisme, mais le magistrat a également travaillé dans d’autres services, comme la huitième section du parquet de Paris, chargée des enquêtes en flagrance, disparue en 1999.

Déjà auteur de nombreux livres, dont des fictions, il vient de publier à la Série noire un nouveau roman justement intitulé Huitième Section, qui la fait revivre au travers de quelques affaires qui semblent l’avoir particulièrement marqué. Rien de bien extraordinaire en apparence, le meurtre d’un SDF tout près de l’Institut médico-légal, quai de la Rapée, à Paris, presque à domicile, une prise d’otage sans otage ou une jeune fille qui étouffe son bébé à la naissance après un déni de grossesse. Le pain quotidien de la justice ordinaire…

Mais une autre enquête traverse tout le roman, celle sur la mort d’un homme retrouvé dans une poubelle de la Ville de Paris, la peau de la tête tannée, ce qui n’est pas banal. Le lecteur suit en parallèle l’histoire de Ness, une jeune Marocaine, et de ses trois sœurs, que la vie n’a guère épargnée. Ainsi, on apprend comment le corps de cet homme s’est retrouvé dans une poubelle à plusieurs centaines de mètres de son domicile.

L’auteur décrit très précisément cette affaire et, sans faire l’apologie du crime, il enquête à charge et à décharge pour bien saisir tous les tenants et aboutissants de ce meurtre hors normes. En parallèle, on suit l’histoire…

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