Nous habitions, mon frère et moi, dans le quartier d’Hohenzollern, entre la Sarre et les casernes, rue Aragon. C’était mon père qui lui avait donné ce nom car il était maire de la ville et communiste.
L'exposition temporaire « Robert Doisneau, l'esprit de résistance » a été prolongée jusqu'au 13 octobre 2024 au musée de la Résistance nationale à Champigny-sur-Marne.
En 1927 sortait le Napoléon d’Abel Gance. Chef-d'œuvre cinématographique, le film revenait en salle le 10 juillet 2024 dans sa version définitive. Ce long-métrage de quasiment un siècle n’avait pas été visionné dans sa forme longue depuis sa sortie.
Synonyme d’anéantissement, de fin du monde, le terme apocalypse désigne initialement la « révélation », le dévoilement de la vérité, c’est d’ailleurs dans ce sens que Jean, apôtre de Jésus, écrit son œuvre qui conclut le Nouveau Testament.
Le roman-feuilleton, en voilà une tradition française. Depuis le XIXe siècle et l’essor d’une presse libérée par les révolutions successives, ces hommes et ces femmes se sont montrés soucieux de donner à lire au plus grand nombre leurs romans. C’est dans cette perspective que Philippe Pivion renoue avec cette tradition ; à cela près qu’il opte pour la rencontre entre le feuilleton et le roman noir historique, politique de surcroît.
Philippe Pivion est communiste.
Philippe Pivion est écrivain. Quand il ne distribue pas des tracts dans les rues de Montreuil, où il sévit, qu’il n’organise pas la défense des intérêts des sourds au sein de l’association ANIC, qu’il ne cultive pas un jardin au cœur de sa Bourgogne natale, Philippe Pivion se consacre à l’écriture.
Salle comble, au Colisée de Lens, le 11 mai dernier, pour la représentation d’« Ave César ! », l’adaptation française de « Sexy Laundry », une comédie écrite par la canadienne Michele Riml et traduite dans une vingtaine de langues.
Le 22 novembre 1832, Victor Hugo est furieux contre le Théâtre-Français, aussi appelé Comédie Française. Sa pièce Le roi s’amuse vient d’être déprogrammée. C’est le retour de la censure malgré la liberté d’expression garantie dans la charte constitutionnelle de la première Restauration. La pièce représentait un François Iᵉʳ immoral, violeur impuni. Ce tableau inadmissible à la royauté et (…)
L’usine, le bon, la brute et le truand, l’épopée d’une lutte économique, sociale et climatique victorieuse racontée du début à la fin dans un long-métrage documentaire de Marianne Lère Laffitte. À voir absolument ! Elle répond ici aux questions de Liberté Actus.