À l’automne 1939, dans le tumulte de la « drôle de guerre », un événement marque un tournant dans la vie politique française : l’interdiction du Parti communiste français (PCF), consécutive à la signature du traité de non-agression germano-soviétique. Dans la foulée, les autorités s’emploient à neutraliser ses élus, perçus comme une menace intérieure. La Corrèze, bastion de la gauche populaire, n’échappe pas à cette vague de répression.