Le lundi de Pâques d’abord, qui n’a pour lui aucune signification religieuse. Catholique pratiquant, mais mauvais élève ici comme il le fut à l’école de son propre aveu, il ignore donc que le lundi de Pâques est le deuxième jour de l’octave de Pâques. Ce que l’Église nomme lundi radieux, célébré en France et à l’étranger. Dans certains pays, comme la Pologne, on le célèbre par des fêtes païennes comme dyngus (Śmigus dyngus : lundi mouillé en français) qui donnent lieu à des batailles d’eau ou de parfums et sont copieusement arrosées, notamment dans le Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.
Le 8 mai ensuite, sans doute un jour sans signification pour le monde entier puisqu’il célèbre seulement la chute du nazisme.
François Bayrou ne choisit pas de supprimer cette célébration nationale par hasard. C’est un récidiviste. Il fit partie d’un gouvernement et d’un parti (l’Union pour la démocratie française) qui approuvèrent la décision de Valéry Giscard d’Estaing de supprimer la célébration de la chute du nazisme de 1975 à 1981.
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